L'uranium : réservé aux ours ?

  • L'uranium est en tendance baissière, avec une invalidation de la cassure précédente et un recul des niveaux acquis.
  • La consolidation récente indique encore une marge de croissance possible pour l'uranium, mais les signaux de vente générés par les indicateurs hebdomadaires suggèrent des baisses probables à court terme.
  • Une rupture sous la limite inférieure du canal de tendance haussière pourrait entraîner une chute plus importante du prix de l'uranium.

clôture quotidienne sous le canal de tendance et 2 écarts.

Les taureaux peuvent-ils survivre dans ces conditions ?

Commençons l'analyse d'aujourd'hui avec le graphique à long terme. Ce qui s'est passé? Plus important encore, qu’est-ce qui ne s’est pas produit et quelles en ont été les conséquences ?

qui forment ensemble la zone de résistance rouge, cette victoire n’a été que temporaire.

L'uranium : réservé aux ours ?

Ils n'ont pas maintenu les niveaux acquis, ce qui a déclenché un recul et une invalidation de la petite cassure précédente (clôture mensuelle en dessous des deux sommets mentionnés), ce qui n'augure rien de bon pour des prix plus élevés – surtout si l'on prend en compte un volume visiblement plus faible au cours du mois dernier. la reprise (cela réduit simplement la crédibilité de la force des haussiers) et la position actuelle des indicateurs mensuels.

Quel impact cette évolution des prix a-t-elle eu sur la situation à moyen terme ? Vérifions le graphique hebdomadaire pour le savoir.

est formée à la mi-décembre. a non seulement pris le prix au-dessus de la zone de résistance rouge, mais également légèrement au-dessus de la bordure supérieure du rectangle orange.

Qu'est-ce que cela signifie?

(.) les acheteurs ont commencé à se renforcer, se consolidant dans la zone 24,45-26,99. C'était une très bonne décision, qui a découragé les vendeurs d'attaquer, ce qui a contribué à la reprise suivante, qui à la mi-novembre a élevé l'uranium au-dessus de la consolidation.

Qu'est-ce que cela signifie? D'un point de vue technique, de telles variations de prix se traduisent généralement par de nouvelles hausses, au moins jusqu'au niveau correspondant au niveau de consolidation. Donc, pour l'uranium, ce serait un minimum de 29,53, ce qui signifie qu'il y a encore une marge de croissance.

est produite – la clôture des positions longues et la réalisation des gains précédents.

invalidation mentionnée ci-dessus de la cassure au-dessus des sommets précédents, mais également un écart rouge créé au début de cette semaine (27,69-27,43), qui sert de résistance la plus proche au moment de écrire ces mots.

nous constatons que le RSI, le CCI et l'oscillateur stochastique ont généré des signaux de vente, donnant aux baissiers encore plus de raisons d'agir.

À ce stade, il convient de mentionner que le RSI a généré un signal de vente pour la première fois depuis octobre.

Que s’est-il passé à l’époque ?

Une performance similaire début octobre a été précédée d’une correction légèrement plus importante, qui a repoussé les prix à leur sommet formé le 6 septembre 2022, ce qui augmente le risque que l’histoire se répète une fois de plus dans la ou les semaines à venir.

61. Pourquoi ici? Comme vous le voyez, le prix se négocie à l'intérieur de la consolidation rose basée sur la mi-décembre. chandelier et 26,61 est son plus bas et la limite inférieure de la consolidation.

Par conséquent, une rupture sous la ligne inférieure de la formation ouvrirait probablement la voie à des niveaux inférieurs.

L'objectif baissier initial serait autour de 24,67, où la taille du mouvement baissier serait égale à la hauteur de la consolidation (vous souvenez-vous du rectangle orange mentionné au début, qui indiquait l'amplitude minimale de mouvement après la sortie de la consolidation ? Oui, l'histoire a tendance à se répéter, il convient donc de rappeler l'amplitude de mouvement minimale).

Les taureaux ont-ils des alliés qui pourraient contrecarrer les plans pro-déclins des ours ? Jetons un coup d'œil au graphique journalier et découvrons-le.

La première chose qui attire l'attention sur le graphique ci-dessus est la répartition sous la bordure inférieure du canal de tendance haussière noire à court terme. Bien que la rupture ne soit pas confirmée pour le moment, tous les facteurs favorables à la baisse ne présagent rien de bon pour une amélioration.

Qu’est-ce que je veux dire par là ?

Premièrement, le 28 décembre, l'uranium a ouvert la journée avec l'écart rouge (27,78-27,51). bien que les taureaux aient tenté de le fermer le lendemain, ils ont échoué, ce qui s'est traduit par un autre espace rouge (27,69-27,43) créé hier, qui ensemble a créé une zone de résistance importante et a bloqué la route vers le nord dans les prochains jours.

Deuxièmement, le volume qui accompagnait la bougie d'hier était important, ce qui confirme l'implication des baissiers dans le mouvement.

Troisièmement, les signaux de vente générés par le CCI et l'oscillateur stochastique restent sur la carte, soutenant les vendeurs et leurs actions ultérieures.

Y a-t-il quelque chose qui puisse aider les taureaux dans les prochains jours ?

Selon moi, leur dernier recours est le green gap (26.64-27.04) créé le 21 décembre. Si ce support n'incite pas les acheteurs à agir, le test de la zone de support la plus proche (créée par le retracement de Fibonacci 38,2% basé sur sur l'ensemble du mouvement haussier d'octobre à décembre, la moyenne mobile sur 50 jours, les plus bas des 7 et 13 décembre) serait très très probable.

D'un point de vue technique, une telle évolution des prix pourrait se traduire par un mouvement à la baisse jusqu'à au moins 25,09, où l'ampleur du mouvement à la baisse correspondrait à la hauteur du canal.

De plus, cette zone est soutenue par le retracement de Fibonacci à 61,8 %, ce qui augmente la probabilité d'un retournement (ou du moins de ralentir ou d'arrêter le mouvement à la baisse).

En résumé, bien que l'uranium ait grimpé au-dessus de la zone de résistance majeure, cette amélioration a été très temporaire et s'est traduite par une invalidation de la petite cassure précédente, ce qui a déclenché une nouvelle détérioration. En conséquence, le prix a chuté sous le canal de tendance haussière à court terme, ce qui, en combinaison avec les signaux de vente (générés non seulement par les indicateurs quotidiens, mais également par les indicateurs hebdomadaires) et 2 écarts de prix rouges, suggère que de nouvelles baisses sont très probables – surtout si l'on voit une confirmation de la cassure sous la ligne inférieure du canal et une baisse en dessous de 26,61 (la ligne inférieure de la consolidation marquée sur le graphique hebdomadaire).

Si vous souhaitez connaître la situation technique actuelle du pétrole brut ou connaître les arguments des haussiers ou les alliés des baissiers, je vous encourage à vous abonner aux alertes sur le trading du pétrole, où vous trouverez les réponses. à ces questions (et bien d’autres).

À demain.

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