Utilisateurs invités à fermer des positions


la plateforme a exhorté les utilisateurs du pays à clôturer leurs positions d'ici fin avril.

Le dernier développement fait suite à une répression continue des échanges cryptographiques mondiaux par le gouvernement indien.

OKX met fin à ses activités

L'Inde a intensifié ses efforts pour lutter contre les opérations illégales d'échanges à l'intérieur de ses frontières. Dans le cadre de ces efforts, la Cellule de renseignement financier (CRF) du ministère indien des Finances a publié un avis à neuf bourses en décembre de l'année dernière, parmi lesquelles Binance, Kraken, MEXC Global, Kucoin, Huobi, Bittrex, Gate.io, Bitstamp et Bitfinex..

Utilisateurs invités à fermer des positions

Par la suite, Google et Apple ont supprimé ces applications des plateformes Play Store et App Store en Inde. Ce dernier développement est une surprise, car OKX était remarquablement absent de la liste de la CRF.

#OKX va cesser ses opérations en Inde.

Au cours de la dernière décennie, de nombreux échanges cryptographiques ont vu le jour en Inde. Toutefois, cela n’a pas empêché les entités mondiales d’attirer les commerçants locaux. Alors que les bourses nationales comme CoinSwitch et CoinDCX se conformaient à l'enregistrement de la CRF du pays, les bourses internationales opérant en dehors du cadre de lutte contre le blanchiment d'argent (AML) et le financement du terrorisme (CFT) ont continué d'attirer un large public.

Cela est principalement dû aux mesures fiscales strictes mises en œuvre depuis 2022, imposant un impôt de 30 % sur les bénéfices et une déduction de 1 % sur chaque transaction crypto.

Pas de clarté sur la crypto

Lors du discours budgétaire intérimaire de février de cette année, le ministre indien des Finances, Nirmala Sitharaman, n'a fourni aucune mise à jour concernant la réglementation et la fiscalité de la cryptographie.

Les acteurs du marché indien attendaient avec impatience un soulagement à cet égard, en particulier après que le gouvernement a annoncé sa participation à des efforts de coopération avec les pays du G20, ce qui s'alignait sur la position du ministère en faveur d'un cadre réglementaire mondial pour cette classe d'actifs.

Le ministre a réitéré ses préoccupations concernant les activités illicites telles que le financement du terrorisme et du trafic de drogue, en raison de réglementations incohérentes d'un pays à l'autre.

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