La zone de libre-échange de Dubaï s'associe à des entreprises sud-coréennes pour développer les activités Web3 et Metaverse


Le Dubai Multi Commodities Centre, l’une des plus grandes zones de libre-échange au monde, a signé des accords avec des gouvernements et des entreprises sud-coréens pour amener davantage d’entreprises Web3 et métavers dans l’émirat. L’objectif de cette décision est de consolider le statut de Dubaï en tant que plaque tournante internationale de la blockchain dans la région.

La zone de libre-échange de Dubaï signe un partenariat Web3 et Metaverse avec des entités sud-coréennes

Dubaï s’efforce de consolider son image de centre technologique mondial décentralisé. Le Dubai Multi Commodities Centre, l’une des plus grandes zones franches de la région, a signé plusieurs partenariats avec des entités sud-coréennes dans le cadre de l’expansion des activités de Dubaï dans l’industrie du Web3.

La zone de libre-échange de Dubaï s'associe à des entreprises sud-coréennes pour développer les activités Web3 et Metaverse

La zone, qui appartient au gouvernement de l’émirat et a enregistré plus de 20 000 entreprises au total, a signé ces partenariats comme l’aboutissement d’une série de roadshows réalisés dans plusieurs villes de Corée. Ces protocoles d’accord (MoU) ont été signés avec la Korea Blockchain Industry Promotion Association (KBIPA) et Seongnam City, une ville avec une base importante de consortiums technologiques.

Contexte du métaverse

Alors que l’intérêt et le financement du métaverse semblent décliner, Dubaï a été l’un des premiers émirats à s’être mobilisé pour adopter la technologie dans le cadre d’une approche gouvernementale structurée. En mai 2022, l’émirat a créé un groupe de travail sur le métaverse, avec l’idée de promouvoir la création d’une économie locale basée sur le métaverse.

L’émirat a finalement formulé sa stratégie de métaverse en juillet de l’année dernière, s’attendant à ce que le secteur apporte 4 milliards de dollars à son économie d’ici 2030, attirant 4 000 entreprises supplémentaires et créant 40 000 nouveaux emplois dans le secteur d’ici 2025.

Toujours en juillet, des rapports informaient que Dubaï cherchait à intégrer une partie de ses bureaux dans le métaverse, afin de permettre aux services gouvernementaux et aux ministères d’exercer leurs fonctions dans le monde virtuel.