À qui appartient désormais le pétrole brut ?

  • Le pétrole brut a perdu 1,81% lors de la séance
  • Les baissiers pourraient prendre le contrôle de la salle des marchés
  • Une nouvelle détérioration pourrait être imminente

81 % au cours de la séance d'hier, mais est-ce la fin de la lutte des acheteurs pour des prix plus élevés ?

Commençons l’analyse d’aujourd’hui par les citations du dernier article sur le pétrole brut  :

(.) Et après?

À qui appartient désormais le pétrole brut ?

(.) les acheteurs ont gagné un autre allié en début de journée (le green gap, qui sert désormais de support le plus proche), qui, avec le signal d'achat (généré la semaine précédente par l'oscillateur stochastique) et l'augmentation du volume qui a accompagné la hausse d'hier suggère qu'ils voudront peut-être tester à nouveau la force et la détermination de l'ours pour conserver ses précieux alliés (le retracement de Fibonacci de 38,2 % mentionné et les trois formations engloutissantes baissières).

Néanmoins, l'ombre supérieure prolongée de la bougie blanche d'hier suggère que les vendeurs n'abandonneront pas sans se battre. Par conséquent, à mon avis, il vaut la peine de surveiller très attentivement le comportement des acteurs du marché dans cette zone de résistance clé, car le résultat des batailles jouées ici déterminera le prochain mouvement plus important.

(.) Que pourrait-il se passer si les baissiers gagnaient et prenaient le contrôle de la salle des marchés ?

est développée en accord avec les hypothèses ci-dessus, et que le pétrole brut s'est inversé et a décliné après avoir atteint un nouveau sommet local le 14 février.

Comme vous pouvez le constater, bien que la matière première ait augmenté après l'ouverture du marché américain, la combinaison de résistances mentionnée était suffisamment forte pour attirer les ours et les encourager à se battre pour faire baisser les prix de l'or noir.

Grâce à leur attaque, la matière première a glissé sous la limite inférieure du gap formé un jour plus tôt, ce qui a déclenché une nouvelle détérioration et le test du prochain green gap (comme prévu). Lors de la séance suivante, les vendeurs ont plongé encore plus bas, ce qui a provoqué un test du retracement de Fibonacci de 38,2 % basé sur l'ensemble du mouvement haussier de février (indiqué sur le graphique ci-dessous).

combiné à l'écart mentionné, a stoppé les baisses et amorcé un rebond qui a invalidé la rupture de courte durée antérieure sous les alliés de ces haussiers.

Cette évolution positive a encouragé les acheteurs à revenir sur la salle des marchés, ce qui s'est traduit par une nouvelle amélioration et un retour au-dessus de la moyenne mobile de 200 jours précédemment cassée. Le début de la séance de vendredi a mis à l'épreuve la détermination des haussiers à se battre pour des prix plus élevés, mais les acheteurs n'ont pas abandonné et ont remporté une autre bougie blanche avec une ombre inférieure prolongée (qui a confirmé leur activité autour du plus bas intrajournalier de 76,69 $) et une clôture quotidienne. au-dessus de la moyenne mobile mentionnée.

Grâce à cette hausse, la matière première a terminé la semaine précédente au-dessus d'une résistance très importante – le retracement de Fibonacci de 38,2% (basé sur l'ensemble du mouvement baissier de septembre à décembre) indiqué sur le graphique hebdomadaire ci-dessous.

des projets de croissance ultérieure.

Un plan pro-déclin en préparation ?

évolution des prix d'

hier a commencé avec l'

Après une légère hausse et une tentative infructueuse de combler l'écart, la matière première s'est inversée et a glissé sous le prix d'ouverture, déclenchant de nouvelles baisses. Grâce à cette attaque, le brut léger a non seulement perdu 1,81%, mais a également chuté et clôturé la journée sous la moyenne mobile des 200 jours.

ce qui, à mon avis, soulève certaines inquiétudes quant à savoir si les baissiers ont déjà décidé d'une autre attaque forte ou envisagent simplement des plans favorables au déclin.

Par conséquent, une autre tentative de hausse et de vérification de leur opinion sur cette question ne peut être exclue – en particulier si l'on prend en compte la proximité du plus bas de vendredi et la détermination des haussiers dans ce domaine (l'ombre inférieure prolongée mentionnée ci-dessus).

En résumé, le pétrole brut a commencé la semaine avec un écart rouge, ce qui, combiné aux formations de chandeliers baissiers (vus à la fois d'un point de vue quotidien et hebdomadaire) et à la proximité de la zone de résistance rouge, suggère qu'une nouvelle détérioration pourrait être imminente.

évolution prochaine du pétrole brut légerhui.

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