Financement du terrorisme – Le Hamas et le Hezbollah passent du réseau Bitcoin au réseau Tron


  • Tron dépasse Bitcoin dans le financement du terrorisme, privilégié pour des transactions plus rapides et plus rentables dans le conflit Israël-Hamas
  • Israël intensifie sa surveillance de Tron, gelant de nombreux portefeuilles liés au Hamas et à d’autres groupes, mettant en lumière le rôle de la cryptomonnaie dans les conflits
  • L’augmentation du financement des conflits par Tron met en lumière les défis de l’utilisation neutre de la technologie par rapport à son potentiel d’applications nuisibles

Le réseau Tron est devenu un acteur central dans le domaine complexe du financement du terrorisme, en particulier dans le conflit Israël-Hamas. Cette évolution met en évidence le rôle multiforme des crypto-monnaies dans la dynamique géopolitique moderne.

L’ascendance de Tron dans les transactions terroristes

Tron a dépassé Bitcoin en devenant le canal privilégié pour les transactions financières de certains groupes dans le conflit en cours entre Israël et le Hamas. Les agences de sécurité en Israël et dans le monde entier ont observé un net pivotement vers ce réseau de transferts de fonds, en particulier par des entités qualifiées d’organisations terroristes par plusieurs pays.

Tron a dépassé Bitcoin pour devenir le réseau de transfert de crypto-monnaie préféré des groupes appartenant à des organisations terroristes désignées en Israëlco/BjXWk9qHBl

Financement du terrorisme – Le Hamas et le Hezbollah passent du réseau Bitcoin au réseau Tron

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Analyser le passage à Tron

La préférence pour Tron par rapport à Bitcoin est principalement due à ses avantages techniques, tels que des délais de transaction plus rapides et des coûts réduits. Les idées de Mriganka Pattnaik, PDG de Merkle Science, une société d’analyse de blockchain basée à New York, éclairent cette tendance. Merkle Science collabore avec les forces de l’ordre du monde entier, jouant un rôle clé dans l’examen de ces mouvements financiers.

Le Bureau national israélien de financement de la lutte contre le terrorisme est actif dans ce domaine, gelant plus de 140 portefeuilles Tron depuis 2021, liés à des activités liées à des groupes terroristes. Cette année a été particulièrement importante, avec la saisie d’un grand nombre de portefeuilles liés à des groupes comme le Hamas, le Hezbollah et le Jihad islamique palestinien.

L’effet d’entraînement du financement du terrorisme

L’utilisation accrue de Tron a coïncidé avec une escalade des tensions suite aux attaques du Hamas du 7 octobre et aux actions militaires israéliennes qui ont suivi. En réponse, Israël a intensifié ses efforts sur le démantèlement des réseaux financiers du Hamas, ce qui a conduit à d’importantes saisies de comptes cryptographiques, notamment ceux liés à une société de change à Gaza.

Hayward Wong, représentant Tron, souligne le défi commun à l’industrie technologique : l’utilisation abusive potentielle des technologies à des fins douteuses. Wong souligne que la technologie de Tron, même si elle est peut-être utilisée de cette manière, ne prend pas automatiquement en charge de telles activités.

De plus, les personnes concernées par ces saisies, dont beaucoup utilisent Tron, ont contesté tout lien avec le Hamas ou le Jihad islamique, affirmant que leurs transactions en cryptomonnaies étaient purement pour des raisons commerciales légitimes ou de finances personnelles.

Un nouveau front dans la guerre numérique

La révélation selon laquelle la branche armée du Hamas avait cessé de collecter des fonds pour Bitcoin, sans mentionner Tron, complique encore davantage le débat sur la crypto-monnaie dans les conflits mondiaux. Cette déclaration intervient dans un contexte de pertes militaires et civiles importantes suite aux événements du 7 octobre et aux opérations israéliennes qui ont suivi.

En réponse à ces attaques, Israël a procédé à l’une des saisies de comptes cryptographiques les plus importantes connues, ciblant environ 600 comptes liés à une société de change basée à Gaza. En utilisant Tron, les individus impliqués dans ces saisies ont nié tout lien avec des groupes terroristes, suggérant que leurs activités de cryptomonnaie étaient à des fins financières légitimes. Certains ont spéculé sur la possibilité de transactions involontaires avec des individus liés à ces groupes.

Sans aucune référence à Tron, l’arrêt de la collecte de fonds Bitcoin par la branche armée du Hamas ajoute une autre couche au récit complexe de la cryptomonnaie dans les conflits internationaux.

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